Poèmes - Magnus

5 A LA VERTICALE DU SOLEIL El le s’est insinuée Entre deux équivoques El le s’est perchée Sur quelques mots cr iés El le s’est tenue Au bout d’un malentendu Quand l ’été soudain A frappé A la ver t icale du solei l I l a chuté Lentement , longuement . . . I l y avai t là le chat jaune aux yeux glauques L’homme au nez aqui l in et au regard mesquin La viei l le fol le qui pouvai t hur ler des nui ts ent ières Des quais de gare et des trains pour nul le par t Tous les vieux fantômes qui ne l ’avaient jamais qui tté Y’avai t même le cimet ière et en habi ts noi rs le curé

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